Je
repartais en colonie avec une association. Il y avait toujours des
problèmes d'ascenseur. Il n'y avait pas d'escalier, et il n'y
avait que les ascenseurs qui merdaient. Le métro arrivait dans
les travaux (sur le quai) et se faufilait entre les grosses pierres,
etc... Un jour, je vois l'ascenseur, je vais dedans mais il me précipite
au dehors de la cabine.
II faut prendre les chaises
[télésiège en montagne]
En fait, il y a deux départs. Je rate
toujours. Finalement, je monte avec une fille de la colo et deux autres
mecs. Il y a des ficelles (comme gardes du corps), mais nous les avons
coupées (il n'y a pas de neige).
Arrivée
là bas, la fille piétine involontairement mon bracelet.
Je lui dis: « Hé! Fais gaffe! » Elle me rabroue:
« Eh bien moi, j'ai paumé...? alors pour un bracelet!
» Je lui baratine quelque chose de génial... elle n'a
pas attendu.
C'est le Mardi Gras ou un truc comme ça. J'ai une mini jupe.
Je passe devant un mec et je lui appuie sur le ventre pour me marrer.
Du coup, il m'emmerde et soulève ma jupe. J'en peux plus...
Il y a un petit escalier en fer (horrible,
qui me fait peur depuis toujours dans mes rêves) et je
commence à descendre mais je remonte car on voit tout [à
travers] ma jupe.
J'avais paumé ma montre et j'en avais racheté une autre.
Et stupéfaction, elle est à mon poignet, si bien que
j'en ai deux! Ça me fait penser à un monstre... je ne
me suis pas rendu compte quand elle s’est mise à mon
poignet.
Longtemps
après, je m'aperçois que les deux montres se sont collées
pour donner un immense écran. Je me dis: «Chouette! Je
vais pouvoir jouer à un grand jeu électronique!»
La programmation s'est faite seule pour les deux appareils réunis.
Mais je me rends compte que les deux montres ne sont pas collées;
la plus grande s'est seulement abîmée et s'est encastrée
dans l'autre. Le jeu électronique est très dur... Mathias
veut faire un circuit (je ne sais pas ce que c'est). Il met un hérisson
dans la piscine et il ne faut pas marcher dessus. Pareil pour une
bête rouge.
[?...] Nous sommes
seuls, papa, Mathias et moi, sans Odile.
Je me rappelle pour le mec qui m'a emmerdée, je me suis dit:
“J'aurais mieux fait de le mépriser!”