Pour
préserver son journal du regard d'autrui, Ariane Grimm utilisa
pour chaque cahier un avertissement liminaire : «
La personne qui lira ce cahier sans la permission de son propriétaire
ne sera pas hors de danger ». Mais, ambiguïté
de la jeune diariste, elle a tenu à faire savoir dans ses
lettres l’existence de ses cahiers de mémoire et combien
ils étaient précieux pour elle. Nul doute qu’elle
ait voulu s’assurer qu’ils trouveraient un lecteur et
ne tomberaient pas dans l’oubli.
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